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L’herpès génital chez la femme est assez fréquent. Sexuellement transmissible, il reste présent dans le corps à vie. L’herpès génital est-il dangereux ? Comment s’en débarrasser ?
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L’herpès génital chez la femme est assez fréquent. Sexuellement transmissible, il reste présent dans le corps à vie. L’herpès génital est-il dangereux ? Comment s’en débarrasser ?

Peut-on attraper le sida sans éjaculation ? En s’embrassant ? Lors d’une fellation ? On vous dit tout sur le sida, cette une maladie sujette à de nombreux stéréotypes.

Perçu comme une affaire de femmes, le papillomavirus chez l’homme est souvent sous-estimé. Et pourtant, il peut également être dangereux pour ces messieurs et mérite donc une attention particulière. Se manifestant souvent par des verrues génitales (excroissance de chair en forme de chou-fleur), le papillomavirus est aussi responsable de certains cancers. Charles.co vous explique tout […]

Le papillomavirus chez la femme est souvent associé au cancer du col de l’utérus. Pourtant, cette infection est souvent bénigne. Alors qu’en est-il vraiment ? Comment le dépister ? On vous explique tout. Papillomavirus chez la femme : 2 catégories de virus L’infection au papillomavirus est due à un virus nommé Papilloma Virus Humain (HPV). […]

Un condylome est une excroissance de chair, souvent en forme de chou-fleur, aussi appelée verrue génitale. Les condylomes sont connus pour être liés au papillomavirus, responsable de certains cancers. Mais alors, les verrues génitales sont-elles dangereuses ? Quelles en sont les causes ? Comment les soigner ? Charles.co vous explique tout. Qu’est-ce que c’est, un […]

Deux virus sont responsables de l’herpès : le type 1 (ou HSV 1), responsable des infections à la bouche (le fameux « bouton de fièvre »), sur les lèvres ou à l’œil ; et le type 2 (HSV2), responsable particulièrement de l’herpès sur le pénis.

Des boutons sur le pénis peuvent avoir plusieurs causes : parfois, il s’agit simplement d’une mycose du gland (balanite), mais il peut aussi s’agir d’une IST, qui sont nombreuses à avoir ce genre de symptômes.

Le terme exact pour parler d’une mycose génitale masculine (mycose du pénis) est balanite. En fait, cette affection est due à un champignon : le C. Albicans (dans de rares cas tropicalis et kruse) et se localise plutôt sur les muqueuses – le gland du pénis.

Un autotest VIH contribue à dépister du virus du sida (VIH), par un prélèvement de sang au bout du doigt, grâce à un autopiqueur.
Son prix est variable, selon les pharmacies, entre 25 et 30euros.

Il y a à l’origine du papillomavirus, qu’on nomme aussi HPV (Human Papilloma Virus), deux classes de virus : ceux à l’origine des verrues (condylomes acuminés) et ceux responsables de condylomes plans, des verrues non visibles à l’œil nu.

Le VIH fait partie des pires pandémies de l’histoire de l’humanité avec des millions de morts.
Découvert dans les années 1970, l’épidémie est vite devenue un problème sanitaire mondial.
Il n’existe actuellement aucun vaccin, et tout repose sur la prévention ou les traitements, permettant notamment à une personne infectée de ne plus être contaminante et de mener une vie « normale ».
Pour autant, les traitements ne permettent pas encore de guérir du VIH ; ils peuvent cependant stopper la prolifération du virus dans l’organisme, sans toutefois le détruire.

La gonorrhée ou blennorragie ou encore « chaude-pisse » ou « chtouille » dans le langage familier, est une Infection sexuellement transmissible (IST) très répandue.
L’infection est due à une bactérie appelée gonocoque de Neisser ou Neisseria gonorrhoeae.
Elle porte le nom de son découvreur, le scientifique Albert Neisser.
Cette infection touche principalement les organes génitaux et urinaires. Elle est souvent accompagnée de douleurs au niveau de ces organes, du rectum, de l’anus ou de la gorge.
Non-traitée, elle engendre des complications.
Depuis quelques décennies, la gonorrhée présente de plus en plus de souches résistantes aux antibiotiques ; elle se guérit bien, mais cela reste inquiétant au vue de l’augmentation des cas dans le monde.

L’infection uro-génitale à chlamydia trachomatis est très fréquente. Elle touche un public plutôt jeune ; les 15-34 ans, aussi bien les hommes que les femmes.
Souvent asymptomatique, elle rend son diagnostic compliqué ; on peut transmettre cette infection sans le savoir à un partenaire.
Lorsqu’elle s’installe et persiste, la chlamydia peut pourtant entrainer de sévères complications : stérilité, prostatite, épididymite…
Charles dresse le portait de cette IST bactérienne la plus répandue.

L’hépatite B se transmet par un virus (VHB) et se caractérise par une infection du foie ; elle est la maladie sexuellement transmissible (MST) la plus répandue dans le monde : 2 milliards de personnes ont été contaminées.
Même si elle guérit généralement d’elle même, beaucoup de personnes peuvent ignorer qu’elles sont infectées par le virus de l’hépatite ; chronique, elle peut être la cause d’une cirrhose ou dans les cas les plus sévères, d’un cancer du foie.
Il existe un vaccin préventif obligatoire pour tous les nourrissons.
L’hépatite B fait chaque année entre 700 000 et 1 million de morts et n’est donc pas à prendre à la légère.
On estime par ailleurs que 240 millions de personnes sont porteuses de l’hépatite B, sans le savoir, et que leur infection est chronique.

L’origine de la syphilis fait encore débat de nos jours ; ce qui est sûr, c’est que cette infection sexuellement transmissible (IST) est très ancienne.
Il existe deux grandes théories à ce sujet : une théorie affirme que ce sont les marins de Christophe Colomb qui ont ramené la syphilis des Antilles ; d’autres pensent que l’infection existait déjà depuis la préhistoire, mais qu’elle a été associée à diverses maladies, notamment à la lèpre.
C’est en 1905 que l’on découvre le germe responsable de la syphilis : le Treponema pallidum.
Quasiment éradiquée au XXème siècle grâce à la pénicilline, la syphilis est en recrudescence depuis quelques années, notamment à cause d’un relâchement de la prévention.
Bref retour historique sur cette IST, qui fit des ravages pendant de nombreux siècles.

Quelle est la taille moyenne d’un penis en France et dans le monde ? Comment mesurer son penis scientifiquement pour avoir sa vraie longueur ?

Il existe deux types d’herpès ; un sexuellement transmissible (HSV-2) et un autre simplement par contact buccal (HSV-1).
C’est une maladie virale et contagieuse, qui lorsqu’elle se déclare, est responsable d’affection de la peau ou des muqueuses.
Cela se traduit par une crise d’éruption vésiculeuse de petits boutons groupés.
Généralement, les crises sont plutôt espacées dans le temps et peuvent durer jusqu’à 15 jours ; des facteurs comme le stress, l’anxiété, l’exposition au soleil ou une baisse d’immunité, peuvent être des éléments déclencheurs d’une poussée d’herpès.
La maladie n’est pas grave pour une personne en bonne santé mais elle peut s’avérer plus sévère chez les patients souffrant d’immunodéficience, les femmes enceintes ou les nouveau-nés.
Une personne infectée ne se débarrasse jamais complètement de ce virus et continuera d’être potentiellement contagieuse, même en dehors des périodes de crises.
Par ailleurs, l’herpès peut être très mal vécu chez des personnes dont les poussées sont fréquentes ; il y a encore beaucoup de discrimination et de stigmatisation.
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L’herpès génital chez la femme est assez fréquent. Sexuellement transmissible, il reste présent dans le corps à vie. L’herpès génital est-il dangereux ? Comment s’en débarrasser ?

Peut-on attraper le sida sans éjaculation ? En s’embrassant ? Lors d’une fellation ? On vous dit tout sur le sida, cette une maladie sujette à de nombreux stéréotypes.

Perçu comme une affaire de femmes, le papillomavirus chez l’homme est souvent sous-estimé. Et pourtant, il peut également être dangereux pour ces messieurs et mérite donc une attention particulière. Se manifestant souvent par des verrues génitales (excroissance de chair en forme de chou-fleur), le papillomavirus est aussi responsable de certains cancers. Charles.co vous explique tout […]

Le papillomavirus chez la femme est souvent associé au cancer du col de l’utérus. Pourtant, cette infection est souvent bénigne. Alors qu’en est-il vraiment ? Comment le dépister ? On vous explique tout. Papillomavirus chez la femme : 2 catégories de virus L’infection au papillomavirus est due à un virus nommé Papilloma Virus Humain (HPV). […]

Un condylome est une excroissance de chair, souvent en forme de chou-fleur, aussi appelée verrue génitale. Les condylomes sont connus pour être liés au papillomavirus, responsable de certains cancers. Mais alors, les verrues génitales sont-elles dangereuses ? Quelles en sont les causes ? Comment les soigner ? Charles.co vous explique tout. Qu’est-ce que c’est, un […]

Deux virus sont responsables de l’herpès : le type 1 (ou HSV 1), responsable des infections à la bouche (le fameux « bouton de fièvre »), sur les lèvres ou à l’œil ; et le type 2 (HSV2), responsable particulièrement de l’herpès sur le pénis.

Des boutons sur le pénis peuvent avoir plusieurs causes : parfois, il s’agit simplement d’une mycose du gland (balanite), mais il peut aussi s’agir d’une IST, qui sont nombreuses à avoir ce genre de symptômes.

Le terme exact pour parler d’une mycose génitale masculine (mycose du pénis) est balanite. En fait, cette affection est due à un champignon : le C. Albicans (dans de rares cas tropicalis et kruse) et se localise plutôt sur les muqueuses – le gland du pénis.

Un autotest VIH contribue à dépister du virus du sida (VIH), par un prélèvement de sang au bout du doigt, grâce à un autopiqueur.
Son prix est variable, selon les pharmacies, entre 25 et 30euros.

Il y a à l’origine du papillomavirus, qu’on nomme aussi HPV (Human Papilloma Virus), deux classes de virus : ceux à l’origine des verrues (condylomes acuminés) et ceux responsables de condylomes plans, des verrues non visibles à l’œil nu.

Le VIH fait partie des pires pandémies de l’histoire de l’humanité avec des millions de morts.
Découvert dans les années 1970, l’épidémie est vite devenue un problème sanitaire mondial.
Il n’existe actuellement aucun vaccin, et tout repose sur la prévention ou les traitements, permettant notamment à une personne infectée de ne plus être contaminante et de mener une vie « normale ».
Pour autant, les traitements ne permettent pas encore de guérir du VIH ; ils peuvent cependant stopper la prolifération du virus dans l’organisme, sans toutefois le détruire.

La gonorrhée ou blennorragie ou encore « chaude-pisse » ou « chtouille » dans le langage familier, est une Infection sexuellement transmissible (IST) très répandue.
L’infection est due à une bactérie appelée gonocoque de Neisser ou Neisseria gonorrhoeae.
Elle porte le nom de son découvreur, le scientifique Albert Neisser.
Cette infection touche principalement les organes génitaux et urinaires. Elle est souvent accompagnée de douleurs au niveau de ces organes, du rectum, de l’anus ou de la gorge.
Non-traitée, elle engendre des complications.
Depuis quelques décennies, la gonorrhée présente de plus en plus de souches résistantes aux antibiotiques ; elle se guérit bien, mais cela reste inquiétant au vue de l’augmentation des cas dans le monde.

L’infection uro-génitale à chlamydia trachomatis est très fréquente. Elle touche un public plutôt jeune ; les 15-34 ans, aussi bien les hommes que les femmes.
Souvent asymptomatique, elle rend son diagnostic compliqué ; on peut transmettre cette infection sans le savoir à un partenaire.
Lorsqu’elle s’installe et persiste, la chlamydia peut pourtant entrainer de sévères complications : stérilité, prostatite, épididymite…
Charles dresse le portait de cette IST bactérienne la plus répandue.

L’hépatite B se transmet par un virus (VHB) et se caractérise par une infection du foie ; elle est la maladie sexuellement transmissible (MST) la plus répandue dans le monde : 2 milliards de personnes ont été contaminées.
Même si elle guérit généralement d’elle même, beaucoup de personnes peuvent ignorer qu’elles sont infectées par le virus de l’hépatite ; chronique, elle peut être la cause d’une cirrhose ou dans les cas les plus sévères, d’un cancer du foie.
Il existe un vaccin préventif obligatoire pour tous les nourrissons.
L’hépatite B fait chaque année entre 700 000 et 1 million de morts et n’est donc pas à prendre à la légère.
On estime par ailleurs que 240 millions de personnes sont porteuses de l’hépatite B, sans le savoir, et que leur infection est chronique.

L’origine de la syphilis fait encore débat de nos jours ; ce qui est sûr, c’est que cette infection sexuellement transmissible (IST) est très ancienne.
Il existe deux grandes théories à ce sujet : une théorie affirme que ce sont les marins de Christophe Colomb qui ont ramené la syphilis des Antilles ; d’autres pensent que l’infection existait déjà depuis la préhistoire, mais qu’elle a été associée à diverses maladies, notamment à la lèpre.
C’est en 1905 que l’on découvre le germe responsable de la syphilis : le Treponema pallidum.
Quasiment éradiquée au XXème siècle grâce à la pénicilline, la syphilis est en recrudescence depuis quelques années, notamment à cause d’un relâchement de la prévention.
Bref retour historique sur cette IST, qui fit des ravages pendant de nombreux siècles.

Quelle est la taille moyenne d’un penis en France et dans le monde ? Comment mesurer son penis scientifiquement pour avoir sa vraie longueur ?

Il existe deux types d’herpès ; un sexuellement transmissible (HSV-2) et un autre simplement par contact buccal (HSV-1).
C’est une maladie virale et contagieuse, qui lorsqu’elle se déclare, est responsable d’affection de la peau ou des muqueuses.
Cela se traduit par une crise d’éruption vésiculeuse de petits boutons groupés.
Généralement, les crises sont plutôt espacées dans le temps et peuvent durer jusqu’à 15 jours ; des facteurs comme le stress, l’anxiété, l’exposition au soleil ou une baisse d’immunité, peuvent être des éléments déclencheurs d’une poussée d’herpès.
La maladie n’est pas grave pour une personne en bonne santé mais elle peut s’avérer plus sévère chez les patients souffrant d’immunodéficience, les femmes enceintes ou les nouveau-nés.
Une personne infectée ne se débarrasse jamais complètement de ce virus et continuera d’être potentiellement contagieuse, même en dehors des périodes de crises.
Par ailleurs, l’herpès peut être très mal vécu chez des personnes dont les poussées sont fréquentes ; il y a encore beaucoup de discrimination et de stigmatisation.